Rouyn-Noranda : Est décédé au CSSS de Rouyn-Noranda le 30 décembre 2013, à l’âge de 35 ans, M. François Turgeon, domicilié à Rouyn-Noranda.
M. François Turgeon laisse dans le deuil son père : M. Gilles Turgeon (feu Lise Beauregard); ses sœurs : Josée (Nicolas Mercier) et Marie-Eve (Tommy Poirier); son grand-père, ses oncles et tantes, ses cousins, cousines ainsi que de nombreux parents et amis(es).
Un don au Centre Hospitalier Douglas serait apprécié.
La famille sera présente au 10, rue Reilly à Rouyn-Noranda, le jeudi 2 janvier 2014 de 14h à 16h, pour recevoir vos témoignages de sympathie.
Messages de sympathie
Nos sympathies à la famille, nos pensées sont avec vous. Steve Sogitex Services Inc.
- Steve Bureau, le
10 janvier 2014
Nous venons d'apprendre le décès de François, nous sommes de tout cœur avec vous tous, nous vous transmettons toutes nos sympathies. Amicalement, Liliane Fortin et Michel Grondines. xx
- Michel Grondines, le
3 janvier 2014
À Gilles, Josée et Marie-Ève, Toutes mes sympathies. Mathieu a bien imagé nos souvenirs, je revois facilement nos petits gars jouer ensemble en des temps plus heureux. Bon courage et dites-vous que de l'autre côté du miroir quelqu'un était là pour l’accueillir les bras ouverts. Marcel Coulombe
- Marcel Coulombe, le
2 janvier 2014
Toutes nos sympathies en ces moments difficiles.La perte d`un enfant n`est pas une epreuve qu`on devrait subir dans notre vie. Mais .tu as eu Francois pendant 35 belles annees alors essaies de te souvenir que des bons moments et dis-toi que de la-haut il sera toujours avec toi. Bon courage.Nos pensees sont avec toi et toute ta famille.
- Andre et Francine Demontigny Martin, le
2 janvier 2014
Je vous offre toutes mes sympathies . Je pense à vous tous très fort.
- Celine Coulombe , le
1 janvier 2014
À Gilles, Josée et Marie-Ève et à tous ceux qui sont touchés par le décès de François. Je vous offre mes condoléances et tous mes vœux de courage pour traverser cette épreuve. Depuis que j’ai appris la nouvelle, j’essaie de rassembler dans ma tête et sur papier quelques mots en guise de soutien mais aussi en guise d’hommage à François, mon cousin et jadis mon meilleur ami. Je ne peux être à vos côtés alors je vous offre ces mots que j’aurais préféré vous dire en personne. La perte d’un être cher est souvent l’occasion de célébrer sa vie en pensant à tous les moments heureux vécus ensemble. Dans le cas de François mes souvenirs heureux en sa compagnie sont nombreux et vifs. J’ai dans mon cœur le film de nos moments d’enfance passés ensemble. Dans la forêt derrière sa maison de Bellecombe, avec Patrick Lefèbvre. Dans ma rue à Rouyn à jouer au hockey avec mon frère et mes voisins. Dans ma cour à jouer au Baseball. Au cap d’ours derrière chez son grand-père, ou de l’autre côté de la rue derrière chez ma grand-mère. Moi le peureux, lui le brave. Moi le petit, lui le grand. Moi le faible, lui le fort. Ce n’était pas ses mots. C’est comme ça que je le voyais. Je le suivais partout parce que je l’admirais. J’admirais son intensité, ses talents en sport, son humour, ses dons en musique, sa bravoure. J’admirais ses connaissances et les histoires abracadabrantes qu’il me racontait. À cette époque il était davantage que mon cousin, voir mon ami. C’était mon grand frère. C’est réellement le souvenir que j’en ai gardé. De 0 à 12 ans, nous étions pratiquement inséparables. Je voulais faire du judo, il en faisait. Il voulait jouer au hockey, je m’inscrivais. Mais toujours, il était meilleur que moi. À l’adolescence nous avons eu quelques rencontres isolées mais touchantes. Je me souviens très bien de notre petit tour en canot sur le Lac Évain et de toutes nos tentatives de jaser, quand on se voyait, de sujets qui nous intéressaient tous les deux. Comme si naïvement on cherchait à revivre un peu de cette enfance où aucune différence ne pouvait nous séparer. Adultes, nos rencontres sont devenues très rares. Mais mon attachement à François a toujours été si fort que je me suis dit longtemps qu’un jour tout irait mieux pour lui et qu’on se retrouverait ensemble une fois ou deux par année à se raconter le bon vieux temps. Comme dans les films. Mais la vie n’est pas un film. Nous avons tous connus un François bien différent de celui qu’on a vu au cours des dernières années. Et c’est ce François, fougueux, brillant, allumé et passionné dont j’ai envie de me souvenir aujourd’hui et pour toujours. François, je sais bien qu’entre gars on ne se dit pas des choses tendres, mais j’ai toujours été le plus téteux de nous deux, alors je peux me le permettre. Je voudrais que tu saches, que tu seras à jamais dans mon cœur. Amitié, Mathieu
- Mathieu Coulombe, le
1 janvier 2014
Mes Sympathies a la familles... moi j était son voisin de l appartement de a coté Robert Bouchard 49 avenue principal app 22 moi qui lui tenais compagnie et fessait c est comissions qu il avait besoin... aurevoir mon copain Francois Turgeon reposse en paix
- Robert Bouchard, le
31 décembre 2013